Autrefois, l'Eglise condamnait l'acte d'abandon mais protégeait l'enfant anonyme). Une fille de bonne famille qui se trouvait enceinte, fuyant la honte du village, se réfugiait à la ville la plus proche, voire à Paris. Une jeune domestique célibataire, placée chez un citadin, cachait parfois sa grossesse à ses parents. Souvent, dans l'un et l'autre cas, le jour de l'accouchement, le bébé était abandonné à la porte du couvent le plus proche.
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