Un prologue et un épilogue avec, de l'un à l'autre, des scènes de la vie d'éveil, puis de la vie de ménage, de la vie rêvée, de la vie de toilette, de la vie de picnic, de la vie de jardin, de la vie de plage… Christian Prigent, dans ces poèmes à sa manière, c'est-à-dire rythmés, scandés, violents, drôles et sinistres tout à la fois, essaie d'en finir une bonne fois avec la mère, et avec le fils, couple indissociable. Il réécrit en quelque sorte, réexamine, prolonge et tout aussi bien "quintessencie" "Une phrase pour ma mère".
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