JUSTE UN REFLET SUR LA VITRE

Un château du Gers vit au rythme de l'agonie de Marie. La famille réunie va soudain découvrir le lourd secret qu'elle cachait depuis tant d'années. Sa mort va déclencher une profonde confusion au sein de cette famille unie par le souvenir de l'Algérie, par les silences sur ses mystérieux voyages solitaires, une passion singulière pour la musique et particulièrement le violoncelle, pour la nature et les animaux.
Mais, qui est ce célèbre violoncelliste ? Et cette princesse florentine ? Qui sont ces Italiens débarquant dans ses dernières heures dans le Savès, ce petit coin de Gascogne qu'on appelle la Toscane gersoise ? Le départ de Marie n'est pas la fm de sa vie mais bien le début d'une autre existence puisqu'elle va décider de rester dans ces murs et dans les coeurs pour achever son oeuvre : de là où elle est, elle doit aider chacun à retrouver son véritable chemin, offrir à sa famille un nouveau départ, une renaissance à une vie joyeuse et foisonnante.
Dix ans après, arrive le moment de l'absolution et de l'indulgence pour libérer l'âme de Marie. Qui va accepter de pardonner à celle qui a trahi mais dont la présence bienveillante a tellement apporté depuis cette seconde vie ? Voilà qui nous amène à réfléchir sur la mort et sur "l'après" : néant, passage, nouvel état de conscience ?