"Il opterait pour le couteau. Bien sûr, il aurait préféré la strangulation, mais c'était une petite créature nerveuse, et il craignait qu'elle ne trouve le moyen de lui échapper. Si elle se dégageait assez pour crier, un voisin dans l'immeuble risquait d'alerter la police. C'est ce qui lui était arrivé la dernière fois ; résultat : il avait passé les vingt-deux derniers mois dans une prison d'État de haute sécurité. Il n'avait aucune intention d'y retourner." Traduit de l'américain. Du même auteur : Le Tueur des bois ; Le Goût mortel de la pluie.
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