"Deux Frères" et "Les Quasi-Monténégrins" ont comme origine deux taches aveugles : tache aveugle du fils, disparu, dans l'oeil de la mère ; tache aveugle d'un peuple, disparu, dans l'oeil de l'expert parti à sa recherche. Cette cécité partielle se révèle un bon moyen de les faire parler, mêlés à de plus ou moins personnages (un mécanicien, une boulangère ou une pochette de disque dans "Deux frères" ; un choeur d'enfants pré-délinquants ou les griffes des pattes d'un chien dans "Les Quasi-Monténégrins"), et vivant des aventures pleines de bier(r)e(s) et de difficultés linguistiques. Il est ici question de quelques-uns de ceux qui n'ont pas victorieusement résisté.
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